Bonjour bien-aimés.
C'est notre soeur temperance qui m'appris hier le décès de notre frère Alexis Barilier, que j'ai connu personnellement en tant que missionnaire de Jésus-Christ, nous avons entretenu également pendant plusieurs années une agréable correspondance.
Ce fut lui qui baptisa, dans le nom de Jésus-Christ, en 1983 les premières personnes qui formaient la communauté de la Guadeloupe.
En Haïti, Martinique et Guyane il présida à la naissance de la plus part des communautés.
Nous nous sommes par la suite perdu de vu car nos points de vus divergeaient à cause de mon sale caractère, mais par delà cela j'ai toujours retenu l'amour que cet homme avait pour son Seigneur et Sauveur même lors de sa dernière venue dans notre assemblée en 1999.
J'ignore s'il est revenu après cette date en Guadeloupe , mais par le net je découvris que le Seigneur l'avait fait grandir car il s'était affranchi de tout dictat dans ce Message, certains de nos points de divergences c'étaient mués en points de convergences.
Pour beaucoup cet affranchissement fut vécu comme une trahison et une pierre d’achoppement, dont certains opportunistes s'en réjouirent pour profiter de se mettre en avant, mais moi j'y vis là une occasion de grandir en Christ car nul n'est indispensable dans le Seigneur.
Le frère Barilier ne prêchait pas le Message mais il prêchait Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié, c'est peut-être ce qui manque à beaucoup.
Puisse le Seigneur accorder une grande bénédiction à son serviteur.
Si l'Éternel ne bâtit la maison, Ceux qui la bâtissent travaillent en vain; Si l'Éternel ne garde la ville, Celui qui la garde veille en vain.
En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de douleur; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil. Ps 127 v1-2