- fidel castor a écrit:
... si meme les renards avait leur terrier jesus n'avait pas de toit
l'argent recolté etait donnais au pauvre
il etait pas marié et donc n'a vraisemblablement pas connu une femme ...
et il est mort en criminelle et critiqué tout au long de sa vie pour pas dire poursuivi
... ce sont pas eux [les notzrim] qui ont ecris les document et ils sont "post evenement"
Jésus comme Mohamed -paix à son âme -vivait proche de ses adeptes et ceux-là se recrutaient d´abord à l´intérieur de sa parenté. Il avait leur toit en partage, là où il passait. Le toit c´est la maison et la maison c´est l´épouse. Dire que Jésus n´avait pas de toit est à comprendre plutôt dans ce sens-là, il vivait comme un moine itinérant.
L´argent d´une collecte de toute communauté juive, jusqu´à aujourd´hui, passe aux indigents des fils d´Israel, à racheter un frère de la servitude ou de la captivité, à soutenir une communauté soumise à un fléau, à permettre aux démunis de célébrer dignement les jours de fête. La communauté de Yeshoua s´inscrit tout à fait dans ce cadre.
Yeshoua a été inquiété puis finalement condamné pour crime de lèse-majesté contre Tibère seulement après avoir commencé à exposer au public son enseignement et la pratique de son enseignement. Yeshoua s´inscrit tout à fait parmi les victimes de l´endurcissement de cette loi impériale.
Depuis le début du 3.siècle, nous n´avons plus que 4 formes du receuil des sentences et des gestes de Yeshoua "parce qu´il y a 4 vents". Nous devons lire cet évangile pour ce qu´il est: une compilation de commentaires oraux mis par écrit en temps de crise pour en conserver le souvenir. On ne peut les comprendre qu’à la lumière de ce qui en faisait l´arrière-fond. On revoit Jésus à la bet knesset de Nazareth; au désert de Kapher Nahum où Yohan exhorte à l´immersion un jour de Kippour; au coeur de la " Galilée des païens " où se mélangent les inspirés de toute nature. Nous formons sur Jésus le souvenir d´un homme enraciné sur la terre de ses pères, proche affectivement et sensiblement d´elohim, profondément amoureux de la Torah. Ce sont des disputes internes pour redéfinir l’identité juive malgrès le joug romain qui ont permis de le mettre en valeur par certains ou de le confondre aux pseudo-messies d´alors et de l´oublier.
Écoutons Didier Long
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=P72cb48CPHg#t=20